Dimanche 22 février 2009
L'HISTOIRE N'EST PAS UN BORDEL
(nostalgie )
...Un act-painting qui avait eu lieu hors de son espace prévu, vu que cet endroit était défavorable, glissant de graisse et de sauce lipidique, causé par les pas des toi-djeniers. Oui, ils étaient là, je les ai vus, la langue tirée, la salive à peine retenue, la sueur pissait de leur front, ficelés par les manches de leurs chemises et vestes qu'on achète souvent au solde du supermarché du coin (on n'achète pas en détail mais au rabais , c'est par convention pour gagner et renverser les chiffres, la calculatrice devient alors le piano de Ray Charles, rythmique, histoire de noyer leur insuccès dans du blues mercantile). La convention!!Oui une convention dont ils font une dévotion. Le mot est devenu chez eux un acte de routine. Cette convention rime avec toi-djnier...Pourtant, ils étaient là, je me suis dit que la sauce et la peinture ne se mélangent pas. Les instruments, palettes et toi-djen ne font pas la fête en communion. Pour moi ; l’Art s'adresse à l'esprit et non pas au ventre. Ainsi l'acte-hirondellique n'a pas eu lieu car j'ai senti que ça va tourner en act PAIN-ting et toi-djen...Dieu merci ! J'ai quitté le lieu pour éviter l'étouffement, rentré à vol d'hirondelle par train, j’ai regagné mon nichoir afin d'hirondelliser la toile prévue et l'acte-hirondellique a eu lieu dans mon nichoir, dans mon modeste atelier devant mon chat Swallow,..Oui, j'ai hirondellisé cet act-painting en paix et au diable les toi-djens.
Qui dit qu'une hirondelle n'annonce pas le printemps?! Mon hirondelle ne me ment jamais. Elle est la météo en personne ... Je n'ai fais que suivre mon instinct ...Pour ne pas rater mon rendez-vous avec l'Histoire.
On a beaucoup flatté nos chers écrivains, mais une fois morts, on leur rend des hommages pleins d’hypocrisie. Dire les bonnes paroles à leurs égards, coller de grandes affiches sur les murs, des cocktails présentés et achetés par convention, des caméramans et des photographes pour justifier les dépenses ...Quel mensonge !!Tout le monde sait comment nos écrivains et nos artistes peintres périssent. Ils finissent dans les coins pourris des hôpitaux, oubliés et ulcérés par tant de meurtrissures, D'autres crèvent sur les bancs publics tel notre feu artiste peintre Jilali Gharbaoui Mort sur un banc public au Champ-de-Marsau en France ...
L’un s'accrochant à une ficelle de la vie , l'autre attend derrière une porte , assiégé sur un socle comme une sculpture de GIACOMETTI , guette de sa misérable fenêtre le bout de sa ruelle, aux murs repeints par les brosses d'un destin hostile, irreconnaissant. Un espoir d'un goût amère, mais beau à halluciner. D’autres, plongés dans un monde de silence, ne cessent de visualiser l'écran de leur téléphone portable d'une qualité (Sellek) dont ils doutent même s'ils sont connectés : « je n'avais pas de réseau... mon téléphone déconne, je l'ai appelé mais sa boite vocale m'a eu !!... une fois que je travaillerais j'achèterais un poste de la 3ème génération... » Gazouillant toujours en souffrance...Ouf ... l’espoir de voir venir le Happy Day, la venue plutôt d'un homme ou d'une femme-hirondelle, c’est à dire les (gens de coeur et de conscience).
Ceux qui tournent le dos à la vérité, ne dégusteront sans doute pas ce gazouillement.
Par contre les bureaucrates qui jouent au Bal masqué en portant des uniformes de rêve et se frottassent les épaules dans un embouteillage de cravates afin de se faire prendre en photos à coté d'un écrivain, d'un artiste ou d'un intello, en espérant réserver un strapontin dans le grand Panthéon de l'Histoire. De ce modeste blog, je leur dis : Mesdames ; Messieurs:..
L'HISTOIRE N'EST PAS UN BORDEL
(nostalgie )
...Un act-painting qui avait eu lieu hors de son espace prévu, vu que cet endroit était défavorable, glissant de graisse et de sauce lipidique, causé par les pas des toi-djeniers. Oui, ils étaient là, je les ai vus, la langue tirée, la salive à peine retenue, la sueur pissait de leur front, ficelés par les manches de leurs chemises et vestes qu'on achète souvent au solde du supermarché du coin (on n'achète pas en détail mais au rabais , c'est par convention pour gagner et renverser les chiffres, la calculatrice devient alors le piano de Ray Charles, rythmique, histoire de noyer leur insuccès dans du blues mercantile). La convention!!Oui une convention dont ils font une dévotion. Le mot est devenu chez eux un acte de routine. Cette convention rime avec toi-djnier...Pourtant, ils étaient là, je me suis dit que la sauce et la peinture ne se mélangent pas. Les instruments, palettes et toi-djen ne font pas la fête en communion. Pour moi ; l’Art s'adresse à l'esprit et non pas au ventre. Ainsi l'acte-hirondellique n'a pas eu lieu car j'ai senti que ça va tourner en act PAIN-ting et toi-djen...Dieu merci ! J'ai quitté le lieu pour éviter l'étouffement, rentré à vol d'hirondelle par train, j’ai regagné mon nichoir afin d'hirondelliser la toile prévue et l'acte-hirondellique a eu lieu dans mon nichoir, dans mon modeste atelier devant mon chat Swallow,..Oui, j'ai hirondellisé cet act-painting en paix et au diable les toi-djens.
Qui dit qu'une hirondelle n'annonce pas le printemps?! Mon hirondelle ne me ment jamais. Elle est la météo en personne ... Je n'ai fais que suivre mon instinct ...Pour ne pas rater mon rendez-vous avec l'Histoire.
On a beaucoup flatté nos chers écrivains, mais une fois morts, on leur rend des hommages pleins d’hypocrisie. Dire les bonnes paroles à leurs égards, coller de grandes affiches sur les murs, des cocktails présentés et achetés par convention, des caméramans et des photographes pour justifier les dépenses ...Quel mensonge !!Tout le monde sait comment nos écrivains et nos artistes peintres périssent. Ils finissent dans les coins pourris des hôpitaux, oubliés et ulcérés par tant de meurtrissures, D'autres crèvent sur les bancs publics tel notre feu artiste peintre Jilali Gharbaoui Mort sur un banc public au Champ-de-Marsau en France ...
L’un s'accrochant à une ficelle de la vie , l'autre attend derrière une porte , assiégé sur un socle comme une sculpture de GIACOMETTI , guette de sa misérable fenêtre le bout de sa ruelle, aux murs repeints par les brosses d'un destin hostile, irreconnaissant. Un espoir d'un goût amère, mais beau à halluciner. D’autres, plongés dans un monde de silence, ne cessent de visualiser l'écran de leur téléphone portable d'une qualité (Sellek) dont ils doutent même s'ils sont connectés : « je n'avais pas de réseau... mon téléphone déconne, je l'ai appelé mais sa boite vocale m'a eu !!... une fois que je travaillerais j'achèterais un poste de la 3ème génération... » Gazouillant toujours en souffrance...Ouf ... l’espoir de voir venir le Happy Day, la venue plutôt d'un homme ou d'une femme-hirondelle, c’est à dire les (gens de coeur et de conscience).
Ceux qui tournent le dos à la vérité, ne dégusteront sans doute pas ce gazouillement.
Par contre les bureaucrates qui jouent au Bal masqué en portant des uniformes de rêve et se frottassent les épaules dans un embouteillage de cravates afin de se faire prendre en photos à coté d'un écrivain, d'un artiste ou d'un intello, en espérant réserver un strapontin dans le grand Panthéon de l'Histoire. De ce modeste blog, je leur dis : Mesdames ; Messieurs:..
...L'HISTOIRE N'EST PAS UN BORDEL.
El hanni Thami l'homme-hirondelle
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