Ces arts à rien ,aux théâtre national
on a demandé à une vache pourquoi pleure-elle la mort de son boucher ;parce qu'il avait l'art d'achever ses bovins, réponda t-elle. une belle réponse et même rassurante .belle par la sagesse des mots, mais tellement touchante ,qui nous donne envie de rempre avec les steaks et devenir végétarien ....(à suivre)
...........
Il y a plus de deux décennies, nous avions publié dans un journal qui a malheureusement changé le fusil d’épaule , un billet sur les négativités qui enlaidissaient le paysage artistique et culturel marocain d’antan. L’article commençait ainsi :« Nous vivons l’ère du triomphe de l’écrit-vain sur l’écrivain, de l’écrit-tic sur les critiques, du parleur sur le poète et du charlatan sur le philosophe… »Voila qu’aujourd’hui El Hanni Thami, poursuivant son combat, nous rappelle cette réalité macabre qui ne veut pas quitter nos cénacles pour de bon. Dans un joli pamphlet que nous éprouvons du plaisir à reproduire (bien sûr avec son autorisation) l'auteur nous parle avec un humour aigre-doux d’écri-vin , des pain-tres des funérailles et d’un tas de choses insolites .Après les Toi-Djens aux Hirondelles , lisons ce qu’il écrit sur les fossoyeurs de l’art:
par (razak)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire